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11 éme édition > 7 au 15 juillet 2017 "Au bord du monde", Alain Laboile

L’association Les Rencontres Photographiques de Castelfranc est heureuse de vous présenter le programme de sa 11ème édition qui aura lieu du 8 au 16 juillet 2017.


Cette année, la programmation sera à la fois simple et dense : simple parce que nous avons fait le choix de mettre en lumière un seul invité mais dense car il s’agit d’Alain Laboile

Cet immense artiste a accepté de venir à Castelfranc et nous lui avons donné carte blanche ; c’est un grand honneur pour nous de recevoir un tel photographe de « l’intemporel et de l’universel ».

 

Le plaisir devrait être total car Alain Laboile sera présent à Castelfranc avec toute sa famille. Nous pourrons organiser avec lui des visites d’exposition et des débats.

Nul doute que le public sera séduit. Rendez-vous donc pour ces 11ème Rencontres Photographiques du 8 au 16 juillet 2017 à Castelfranc.


La 11ème édition Des Rencontres de Castelfranc étend son champ des pratiques de l'image à celle de l'installation. Une installation créée par deux artistes plasticiens est présentée dans le même temps à la Chapelle des Pénitents de Luzech. Pauline Bessières et Jean-pierre Castex ont conçu l'exposition à partir du lieu. Dé natura é est le fruit de leur approche d'une ancienne chapelle. Ils revisitent et déplacent avec force et délicatesse les qualités de l'architecture et de sa fonction passée. 

 


10 éme édition > 07 au 17 juillet 2016 "Regard sur l'humain"

Bouvet - Guerre et paix

35 années de conflit et une incursion durant l'année 2012 dans un univers de paix.
Comme un sas de décompression, car un photographe journaliste accumule les faits, les violences, la mort omniprésente. Il faut pouvoir gérer...
Il se dit qu'un photographe de conflit est certainement dépressif, c'est possible. Comment se retrouver dans des situations les plus inimaginables, où plus aucune barrière ni psychologique, ni humaine ne font rempart. Comment vivre ensuite au jour le jour dans notre société ? 
Ce monde est fait d'extrêmes, plus l'on avance plus les fossés se creusent, y compris dans ce métier.

ericbouvet.com

 

 

Agnès Deschamps - La Voie du Kalaripayat

La voie du Kalaripayat est un projet qui porte sur un art martial et thérapeutique, pratiqué traditionnellement au Kerala, un petit état situé au Sud-Ouest de l’Inde. Il est difficile de déterminer l’origine exacte du kalaripayat, qui emprunte ces techniques de défense et d’attaque aux animaux sauvages qui peuplaient en son temps la jungle du Kerala. Des inscriptions gravées sur des feuilles de palme vieilles de 2500 ans, laissent penser que c’est le plus ancien art martial au monde. 
Ce redoutable art de défense non-violent regroupent plusieurs disciplines : les pratiques corporelles et individuelles, les techniques défensives et offensives à main nue, le maniement de tout un arsenal d’armes en bois et en métal (bâton long ou court, dague, bouclier et épée, sabre, lance, hache …), une science médicale très sophistiquée et initiatique fondée sur la connaissance des points vitaux, des lignes d’énergie, et le massage. Les guerriers deviennent guérisseurs.

 

 

Guillaume Le Baube - L'espoir à fond de cale

Une série photographique dans la Jungle de Calais... Exercice difficile que de montrer des images de ce camp tellement (mal)médiatisé ces derniers mois.

Arrivé pour la première fois dans le bidonville en novembre 2015 accompagné d’un ami, nous y avons retrouvé coincée dans ce petit bout de lande, une communauté soudanaise du Darfour, qui nous a accueilli, offert un lit et une place au coin de leur feu.
De mes allers­ retours jusqu’à l’évacuation et la destruction de la partie sud du camp en mars 2016, j’ai vécu avec eux deux semaines, durant lesquelles j’ai tenté de saisir le temps qui s'écoule de façon interminable, un temps d'attente, long, des journées de désœuvrements, rythmées par les distributions parfois chaotiques de vivres, les petites joies et les tentatives douloureuses ­ et infructueuses ­ de passer enfin de l’autre côté de la Manche. Entre les litres de thé et de café et les conversations sans fin, j’ai posé mon regard sur ce qui fait le quotidien de cette ville monde coincée entre la France et l’Angleterre.

www.guillaume-le-baube.com

 

 

Guillaume Ducreux - Black Sunflowers

Dans l'à peu près d'une existence. Fixer pour mieux me raccrocher à ce qui est déjà loin.Les ombres m'illuminent. Ce soleil noir me pousse sur une route sans fin. De l'aurore au crépuscule tout est vaporeux et distant. Comme un cri dans la brume, je respire.

Black Sunflowers est une errance visuelle mais aussi émotive. Je me recentre sur ces instants à part qui m'ont toujours happé.
En marge de mon quotidien, une pause.
Je me laisse aller simplement dans cette lumière noire que j'affectionne.
Ces photographies instantanées apparaissent comme une évidence au détour d'un virage. On pourrait tracer une tangente entre la Belgique et le sud de la France, mais ce n'est pas le but. Je retrouve cet univers dans différents coins, différentes régions et j'aime à m'y perdre quelques instants .
L'intemporalité des voyages.
La perversité de flotter entre deux mondes.

www.irisetchimere.format.com

 

 

Pablo Chignard - Paysan, un mode de vie (2005-2016)

En 1955, la France comptait 2,3 millions d'exploitations agricoles, en 2014 il n'en restait plus que 515 000. Il y a 60 ans, plus d'un tiers de la population active française travaillait la terre et en vivait, les agriculteurs ne représentent aujourd'hui plus que 3% de la population active.
Malgré un contexte difficile, de jeunes paysans reprennent encore les fermes de leurs parents. C'est le cas de Mathieu qui élève des charolaises sur la commune de Saint-Hilaire-La-Croix dans le Puy-de-Dôme. « Paysan, ce n'est pas un métier, c'est un mode de vie » revendique t-il.

Retour sur 11 ans de suivi photographique dans le quotidien de Mathieu.

www.pabloc.com

 

Cyril Bourras - En bord de route

Ma pratique de la photographie est quotidienne, une obsession à vouloir sans cesse capturer des moments de vie, des personnages que l’on croise, pour la plupart des gens, sans les regarder, jour après jour, et qui pourtant peuplent notre quotidien sans pour autant ne jamais faire parti de nos vies. Paradoxe de ces grandes villes, entouré en permanence de centaines de milliers d’êtres, et se sentir seul, au point de ne devenir que l’ombre de soi-même.

www.flickr.com/photos/el_mexicano/albums/72157627540046025

 

 

Suzanne Alibert- Europe next door

En 2015, Suzanne Alibert, 27 ans, journaliste originaire du Lot, a réalisé un tour d’Europe de huit mois dans le cadre d’un projet indépendant baptisé « Europe next door ». Au cours de ce voyage, elle a rencontré des jeunes européens pour les interroger sur leur vie, leur vision de la politique et de l’Europe et identifier les projets pour lesquelles ils s’investissent. Après avoir enrichi un blog tout au long du voyage, ces différentes interviews contribuent à la réalisation d’un livre, d’expositions photo et de conférences.

Lors des rencontres photos de Castelfranc, elle présentera son exposition photo itinérante : 20 portraits de jeunes interviewés lors de son voyage, accompagnés de textes sur leurs visions de l’Europe.

www.europenextdoor.com

 

 

Laurent Nicourt - Amers encens

J'ai goûté Benares, sniffé ses odeurs de corps cramés, me suis enivré de son cocktail encens et merde mêlés. Je me suis frotté à la douceur des soies, à la noirceur des murs, à la torpeur du Gange. Son âcreté me rend accro. Chaque séjour est à chaque fois le dernier et puis vient le manque. Le manque jusqu'à ce que je file à mon dealer toujours le même petit billet : Paris-Delhi-Varanasi.
Né en 1965 et vivant à Paris, Laurent Nicourt est auteur pour la télévision et la publicité le jour et obsédé de photo le jour, la nuit et plus encore.
Plutôt adepte d’une photographie légèrement grasse, admiratif des photographes de bas-fonds, rarement convaincu de la bonté de l’âme humaine, particulièrement la sienne, il reconnaît voler ses photos plus que les prendre. 
Plusieurs fois publié, exposé à la MAP de Toulouse, invité de l’Oeil Urbain et Lauréat du Grand Prix Ilford, Laurent Nicourt expose sa série « Amer Encens », un portrait très subjectif de la ville indienne de Varanasi.

www.laurentnicourt.fr

 

 

Guillaume Millet - Nos territoires fragiles.

Nos territoires fragiles est le fruit d’un voyage réalisé seul, de Rome à Istanbul (en passant par Naples, le Monténégro, la Macédoine et la Bulgarie). Cinq semaines pendant lesquelles les questionnements personnels du photographe ont rencontré ceux de l’Europe qu’il traversait. Cette Europe qui est la sienne, même en ses confins. Ses images montrent un territoire européen que l’on voudrait solide, sûr de lui et de ses limites, peuplé de certitudes vertueuses, un territoire qui ne voudrait faire qu’un et qui connaît le chemin à suivre pour grandir sereinement. Et pourtant. C’est un territoire fragile, éraflé, indécis, multiple. Comme lui. Comme eux. Comme nous. 
Ces images sont extraites de la série Là-bas si j’y suis.

Pour cette 10eme édition nous avons voulu créer une résidence photographique au sein du village de Castelfranc, et Guillaume Millet a accepté de se lancer dans cette aventure. Le résultat de son travail sera aussi présenté lors des rencontres 2016.

www.guillaumem.com

2015, Univers intime & regard sur l'autre

 

 

Brigitte Bauer "Fragments d'intimité"

Vus de dos, c’est à travers ces couples que l’on aperçoit la ville : des couples, partout, assis sur des bancs au bord de mer, dans les jardins publics, sur les murets de la corniche. Des couples partout, toute la journée, encore plus en fin de journée, bien sûr. Des couples jeunes, mais pas toujours. Bulles d’intimité au milieu de l’agitation de la ville, ils sont là, penchés l’un vers l’autre, un peu ou à peine. Ils se regardent, ou regardent la mer, ou rien, tournant le dos au monde. Ilots dans la foule des rues. Paradoxe apparent : le choix de l’espace public pour trouver une intimité que l’intimité familiale ne permet pas. Attitudes privées dans un espace qui est public. Figures de dos, donc, et des femmes presque toujours voilées. Dans cette ville par tradition ouverte sur l’occident, le voile est sans doute signe d’islamisation des esprits, mais ses déclinaisons de formes et de couleurs, de plis et replis montrent par ailleurs qu’il n’échappe pas aux coquetteries de la mode. Choisir Univers intime & regard sur l'autre la figure de dos, forme récurrente en peinture de paysage - et en photographie contemporaine -, me permet d’inviter le spectateur à prendre sa place, à contempler l’espace urbain à partir de son point de vue. 

Héloïse Berns "Seule avec toi"

 La gémellité est quelque chose de tout à fait particulier, auquel j’ai le bonheur d’être confrontée. Mais ça reste une intrigue, une question, quelque chose que je ne peux saisir qu’en partie, et de l’extérieur. Je veux montrer cette intrigue, quelque chose d’extraordinaire mais qui m’échappe partiellement, et dont il semble qu’on peut résumer le mystère par l’idée qu’on est seul à deux. Ce fut donc une chance incroyable pour la photographe que je suis de photographier mes jumelles : elles sont tellement ensemble qu’elles ne prennent absolument pas en considération le fait que je les photographie !


Eric Bouttier "landed"

Landed  est le troisième volet d’un Journal photographique en Cinémascope, work in progress entamé en 2010 avec un appareil jouet argentique (un « faux panoramique ») qui se lit comme une succession d’instantanés chronologiques d’un album de famille empruntant aux codes de la fiction. A l’orée du conte, Landed témoigne de l’expérience nouvelle de la paternité, et porte son regard sur l’univers primitif de la petite enfance, sur l’enfant comme un être de pulsions, faisant corps avec le paysage.


Gilles Coulon ( Tendance Floue ) " Hiver"

J’ai cherché dans l’hiver celui des autres. De ceux que je ne veux pas regarder et qu’on ne voit plus.  Leur présence est insupportable. Elle devrait être inadmissible. L’habitude les a rendus insignifiants. Ils font désormais partie du paysage urbain. À quelle distance faut-il se placer pour contempler un paysage? Quelle distance l’indifférence met-elle entre le passant et ces corps allongés dans les recoins du bitume? Dans l’hiver de la campagne, saisi à l’arraché, j’ai cherché la trace, en creux, des «sans domicile fixe».  Dans la contemplation brève d’un pays enneigé, j’ai voulu prendre le temps de les regarder. Au moment de l’année où le climat les menace plus qu’à l’ordinaire et nous rappelle un bref instant qu’ils existent.


Guillaume Ducreux "Projet W"

Allant de rencontres en rencontres, prenant mon temps, je m’intéresse à l’énergie qui se dégage d’amies ou d’inconnues. Loin de mon quotidien photographique, j’ai tenté d’approcher la Femme.

Au travers des vibrations et des émotions qu’elles m’inspiraient, j’ai volontairement laissé la porte ouverte au ressenti. L’intime est une matière mystérieuse, volatile et capricieuse. Je me risque à l’apprivoiser, en saisir l’essence. Aller au-delà de ce que suggère cette rencontre avec la féminité,  me comprendre et surtout la comprendre.

 

Jean Fabien "un long dimanche de fiançailles"

Tout est parti de l‘idée d‘un portrait. D‘une simple photographie. Sujet : Fred Navarro. Porteur du sida depuis plus de vingt ans. Militant à Act UP. Veuf.

 

Alain Jouannetaud "Lacroux" 

S’arrêter à la ferme de Lacroux c’est entrer dans un univers fait de nature et de silence où le temps semble ralenti. Etre dans ce lieu, c’est aussi partager le quotidien des enfants qui y vivent, c’est essayer de saisir leurs états d’âmes, leurs joies et leurs peines. Loin  de la ville, cette rencontre dépaysante donne l’impression d’avoir vécu comme dans un rêve, hors du temps. Cette série de photographies a été réalisée entre 2012 et 2013 à la ferme de Lacroux.

 

Thomas Krauss " les sans dents"

Philippe Geluck fait dire à son chat que "le paradis est rempli de gens qui passent l'éternité entière à se raconter leurs souvenirs. Que l'enfer c'est la même chose, sauf qu'en plus chacun a amené ses diapos"…J'ai voulu éviter à ceux de nos proches qui feuillettent nos albums de souvenirs de vivre cet enfer. 

J'ai donc essayé d'adjoindre des mots qui me ressemblent à des photos qui me ressemblent. Et d'ainsi raconter de fausses histoires en usant de vrais fragments de notre intimité.


Anne Locquen

Mon médium est le polaroid, merveilleux, imprévisible au grain si particulier, inimitable. Mon travail s'articule autour de mon intimité. Je puise mon inspiration parmi mes proches, avec l'idée de toucher le spectateur et l'envie qu'il y retrouve des liens avec sa propre existence. Je pratique l'autoportrait, entre autres à l'aide de miroirs, fascinée par leurs pouvoirs qui vont bien au-delà de leurs simples propriétés de réflexion, un monde à plusieurs dimensions. Je construis depuis environ un an une série d'autoportraits réfléchis en déconstruisant, découpant mon corps en quête d'une partie de mon identité. Je travaille également sur une série intitulée «les jardins intérieurs» composée d'associations portrait/paysage, portrait/végétal, des jardins secrets dévoilés. Je présente à Castelfranc des instantanés issus de ces séries.


Mattia Vacca "un conte en hiver"

Dans une vallée verdoyante, entre forêt de conifères et pâturages alpins, se niche le village de Schignano dans les pauvres montagnes face au lac de Côme. Une des plus anciennes traditions de Schignano est certainement qui est célébré chaque année dans un jour unique d’une manière très particulière. La parade, chargée de symboles et d’allégories, évoque l’adieu des hommes du village qui, jadis, quittaient leur foyer et leur famille neuf mois par an pour trouver du travail. La fin du carnaval rappelle leur départ et la solitude annoncée des femmes. Un festival spontanée, anarchique, sans règles ni lois écrites, perpétué grâce à l'esprit de la population et aux artisans qui confectionnent des masques en bois caractéristiques.


Yannick Vallet"les disparus"

Ceux qui ont franchi la ligne pour un autre ailleurs. Vers une autre vie ou un autre lieu. Un au-delà ou un autre monde. Vers une autre normalité ou pour un autre présent. Ceux-là sont les Disparus. Les Disparus est une série de diptyques polaroid sur le thème de l'absence. Absence de l'être aimé, absence de l'enfant, de la famille, de l'ami. Absence de l'autre, tout simplement. La série "Les Disparus" a reçu le Prix du Public 2014 dans le cadre du Festival "Portrait(s)" de Vichy.


Géraldine Villemain "Anantomie de l'instant"

L'Anatomie de l'Instant est un conte intime, organique où je mêle la réalité, la temporalité à des questionnements personnels en dressant le portrait d'une vision qui m'est propre des rapports familiaux. Je dissèque ces instants de vie en perpétuel mouvement tout en figeant leur fugacité, j'étire les marges de la réalité jusqu'au point d'intersection avec ma perception du moment. Je puise ma force dans le réel, mené par une construction narrative  intime, tel un conteur, me révélant alors ce que je transmets.

 

Du selfie au portrait "

Atelier de photographie encadré par Alain Astruc, Photographe et réalisateur. Il a été réalisé dans le cadre du Centre de Loisir de Luzech en avril 2015. L’atelier se déroulait en deux phases: tout d’abord prises de vue de selfie (autoportraits), ensuite les enfants devaient tourner leur appareil vers “le monde extérieur” , « s’ouvrir aux autres » prendre des portraits de gens rencontrés dans les rues de Luzech.

 

exposition collective

I love my city /Toulouse est la suite du projet vietnamien. En effet, durant 2 jours, les 12 et 13 septembre 2014, 10 photographes dont 2 jeunes étudiant de l’alliance française ont réalisé des « essais photographiques » présentant leur regard sur la ville. Ce marathon photo axé sur la pratique de l’ « essai photographique » proposait aux participants de travailler sur des séries d’images en temps limité avec des sujets choisis par eux même. Suivant le quotidien de toulousains à travers des lieux chargés d’émotion et des itinéraires liés à la mémoire ou au quotidien.

Listes des marathoniens : 

Alexandre Chamelat, Alice Lévêque (grand prix ETPA 2015), Carmen Legros, Guillaume M, Claire Martial-guilhem , Franck Gonnaud, Ségolène Chassain, Marion Bertin, Claudia Perez, Qiu Alfre et David Perpere , Delphine Maury et Gerald Debiard

avec le soutien d'Amica Travel et le domaine du Peyret / Lionel Cantagrel à Puy-l' Evèque (46)

2014, Génie du lieu & (petits) paysage intérieurs

 

 

Invité d'honneur: Pentti Sammallahti, Né à Helsinki en 1950 et vit à Helsinki (Finlande)
Passionné par le livre et les techniques de reproduction de la photographie, a conçu et auto-publié plus de quarante livres ou portfolios, classés en "Opus" dont treize consacrés à son propre travail.
http://www.galeriecameraobscura.fr/artistes/sammallahti/biographie/bio.html


Karine Maussière 

Artiste visuelle, Karine Maussière utilise la photographie, la cartographie et s’essaie à l’écriture à suivre sur son blog.

Karine a presenté sa série "Chambres d’ailleurs " :" j’ai photographié les chambres où je dormais lors de mon tour du monde en 2006-2007. Ce sont des photos d’intérieur, de l’intime, accompagnées de texte. Je voulais voir ce qui venait à moi par l’écriture. Mes textes sont anecdotiques et poétiques, avec une écriture en notes de musique. C’est une sorte d’invitation au voyage où le son est omniprésent."

 

Virginie Plauchut

www.virginieplauchut.com.

 Photographe française née en 1976, travaille essentiellement en argentique. Entre documentaire et mise en scène, son travail est un questionnement de l’autre et de soi, une exploration de l’humain dans une confrontation douce ou amère. Virginie a présenté ses séries "Écho" & "Les Hauts Murs"


jeune photographe toulousaine poursuit son parcours d’étudiante en photographie/art plastiques et amorce déjà la composition de son univers artistique.
sa série "Vanished Women": "le cœur de cette série est partie d’une envie de travailler sur une approche différente du corps de la femme. Loin des habituelles photographies prisant les courbes et bien souvent les stéréotypes de la féminité, elle a voulu créer une possibilité d’appréhender l’identité féminine d’une autre façon."

 (b.1980) Diplômée en Anthropologie et en Arts du Spectacle "cinéma documentaire" ses images ont été publiées et exposées en France et à l'étranger.
Elle réalise généralement ses séries sur le long cours. Elle travaille aussi pour Image Temps, une structure qui pilote des projets d'éducation au regard.
FB: Laure Maugeais photography
– avec Laure Maugeais - Photography.
Laure présentera sa série "En attendant que la neige fonde",un travail sur l'habitat mobile en hiver,

Guillaume M (Guillaume Millet) 

http://www.guillaumem.com/

"J’ai enseigné pendant plusieurs années l’histoire-géographie et la photographie en lycée professionnel. Depuis 2 ans je développe un travail personnel, dont la teneur reprend les questionnements développés lors de mon parcours universitaire, en Géographie et en Sciences Politiques. Identité, territoire, représentations individuelles et collectives et plus largement le rapport Homme-Espace traversent mes différentes séries d’images.".
Guillaume présentera sa série "3ème trimestre": "Scrutées dans leur détails, ces photographies dévoilent des fragments de vie d’une précieuse banalité, qui permettent de saisir la complexité et les subtilités de ce qui se joue dans une salle de classe."

Diplômé de l’ICPA International College of Photographic Arts ,école de photographie Hollandaise de Cahors.  
Dapix a presenté une série intitulée "The day after yesterday", un "voyage initiatique d'une journée, une vie, en un instant fugace. Le thème de cette série est principalement celui de la genèse, du paradis perdu et du jardin."

Alain Astruc
  né en 1974, fait des photos et des films. Après avoir ressenti l’appel de l’aventure et des pérégrinations urbaines et canadiennes, le retour aux racines dans le Genius Loci de son enfance quercynoise a été le début d’une aventure intérieure qui le pousse à chercher le symbole dans l’anodin et l’universel dans l’intime.
Le travail présenté à Castelfranc" le royaume intérieur "  représentatif de cette pratique qui cherche la tradition dans le présent toujours en fuite.

Photographes en résidence au Vietnam avec les Rencontres 12/2013:

Delphine Maury:

 
G
érald Debiard

 


2013, Regard sur la jeunesse, jeunesse du regard

 

1 - WILLY RONIS, sur le fil du hasard

 Rétrospective de Willy Ronis, disparu en 2009. Parmi les photographes « humanistes » il est une figure. Son regard d’éternel jeune homme, frais et poétique, a marqué de nombreux photographes et ses images simples, belles et pleines d’humour font partie maintenant partie de notre « héritage photographique ».


2 -  MAIKA ELAN  the Pink CHOICE

A 25 ans, cette photographe vietnamienne connaît déjà une consécration avec, en 2013, le Prix Worldpress du reportage sociétal. Ce travail sensible présente la vie intime de couples homosexuels de tous âges au Vietnam. Atmosphère douce et photos sensibles d’une ancienne étudiante en Sciences Sociales.

http://www.maikaelan.com


3  - ALAIN ASTRUC« Le Chariot » ou l’apprentissage du voyage.

Les images de l’errance intuitive de Alain Astruc embarquent les spectateurs. Balade étrange, avec une organisation qui lui est propre . En miniature ou en grand tirage, en noir blanc ou en couleur, son travail n’est pas une suite d’images, c’est une énergie, un pouls, un univers. Ses références sont symboliques, parfois ésotériques, liées à une passion pour l’imagerie et une relation particulière pour le Tarot.. « J'ai fait des études de lettres et cinéma et c'est un peu par hasard que je me suis retrouvé à faire de la photo. Ce qui m'a séduit c'est un monde silencieux, élégant, apparemment factuel mais avec des possibilités symboliques et narratives spécifiques. »Alain Astruc

http://alainastruc.com


4 VINCENT BALDENSPERGER Les grands enfants

Portraits de gens et d’objets. Pas n’importe quel objet, celui qui les lie et les relie à l’enfance. Matérialisation du souvenir, de l’affect. La photographie, instrument habile, permet de relater.  Vous, nous, nos objets, avec ou sans nostalgie.  

http://www.vincent-baldensperger.com/

5 LUCIA AHMAD/PAULINE BESSIERES

Lucia, STATEMENT – Etat des lieux ?

Que dire? Que faire devant la complexité de la situation de vie en Palestine? Lucia Ahmad répond en image en suivant une amie danseuse contemporaine qui laisse libre court à ses mouvements, à sa dance de réaction et de survie. Comment répondre à la politique et à l’histoire dont cette génération hérite ? Devant la violence, violence et d’absurdité la réponse de la jeunesse se trouve dans la grâce, la créativité. « Statement a été créé sur une impulsion, un « trop plein », un « ras-le bol !» Coup de fil à une amie danseuse et je lui demande de danser dans la rue ! Lorsque l'on connait la Palestine, on peut imaginer à quel point cet acte si banal ailleurs va prendre une ampleur toute autre ici ! »


Pauline, Palestine – Journal photographique

« La Palestine est un territoire qui saisit. Il produit un effet « addictif » et modifie celui qui y séjourne. Le contexte politique réel et fantasmé semble saisir les habitants. Pour celui qui y passe, en essayant d'y faire preuve d’empathie, il devient presque impossible de ne pas se sentir immerger.  Dans cette situation d’immersion mon appareil photo-caméra était devenu mon principal espace de travail. Et, peu à peu la part de ce que j'étais en train de vivre a remplacé toute possibilité de distanciation. »

Une expo à lire entre lignes, les mots et les photos.


6 CYRIL BOURRAS

Une vie ordinaire - En bord de route -  L’insoutenable légèreté de l’être.

A travers ces trois séries d’images nous découvrons la photographie pratiquée régulièrement, au quotidien, exercice de créativité, rituel réjouissant. Une anthropologie intuitive par l’image. «  J’aime pratiquer la photo de rue dans mon quotidien, en allant chercher le pain le dimanche matin, ou en promenant mon fils dans sa poussette. Cartographier mon quartier, et surtout les gens qui y vivent. Un set qui parle simplement, de vous, de nous.» A l’heure ou nombre de professionnels délaissent la vie quotidienne « en bas de chez soi » d’autres la photographient avec application :« Combien de fois me suis je dit lors de mes trajets quotidiens en voiture « si j’avais un appareil, là! », en voyant une scène se dérouler devant mes yeux ?! C’est chose faite. Désormais ce laps de temps, qui autre fois n’était qu’une parenthèse durant laquelle ma vie se suspendait, est devenu un espace de (ré)création. La vie à l’extérieure (de l’habitacle) suit son cours, pourquoi ne pas la capturer ? ».

Cyril Bourras vit et photographie à Grenoble.


7- STEPHANE CHABRIER,

Le dispositif invite les enfants à un défi subconscient dans un théâtre de craie et de mouvements . D'après un dispositif photographique réalisé avec la collaboration d'une classe de CLIS et d'une classe de CM2 autour de l'opération "Des clics et des classes" au Groupe Scolaire Z. Lafage à Cahors au mois de Février 2012 et Mars 2013. Cette photographie est une radiographie de l'étrange, un moyen d'améliorer la compréhension de l'autre, du monde qui nous entoure, ou d’un monde intérieur ?

http://www.stephanechabrier.com


8 - BINH DANG

 « Small things » qu’on pourrait traduire en français par « petites choses ». L’Agent Orange, autre appellation d’un poison désherbant nommé dioxine, a été utilisé par les Etats Unis durant leur guerre au Vietnam pour déloger les combattants cachés dans les forêts. Les guerres passent mais les poisons restent. Des milliers de vietnamiens sont contaminés aujourd’hui, atteints de maladies qui les déforment et les tuent. Binh Dang a suivit deux jeunes victimes qui ont décidé de se marier.

Inattendu, sensible et doux comme un vent de rizière, ce gentil « dyslexique de la photographie » nous perd dans son langage visuel.

Graphiste et photographe, Binh Dang vit à Hanoi, très proche d’un mouvement photographique vietnamien qui s’inscrit dans la réalité sociale.

http://binhdangme.tumblr.com/small-things


9 - GERALD DEBIARD

Indiagram

Avant de partir en voyage une question revient souvent: « De quel appareil photo se munir?» Gérald Debiard revient d’Inde où il a capturé, avec son téléphone, des instantanés numériques du pays continent qui continue de fasciner. Train, Bajaj, bus, errance, rencontres et souvenirs en format carré. Réminiscence du Rolleicord d’antan, mandala photographique, compagnon de route à la recherche de l’autre et de soi.

http://gdphotos.wifeo.com/


10 - STEPHANE GINER

 Les images « smartphone» sont, chez ce ‘braconneur’ de l’image, un mode de fonctionnement, un travail d’équilibriste. Tantôt du côté de l’intime, tantôt, comme pour s’en excuser, du côté d’une image plus ‘éditoriale’. Beaucoup ont leur place dans le carré de recherche de Stéphane Giner : inconnus ou amis portraiturés, son laboratoire des vis à vis a un goût suave de ‘non finito’, à la recherche de fraicheur autant que de profondeur.

http://stephaneginer.com/

 

11- CHLOÉ LEROY

 Identités

« On ne nait pas homme ou femme, on le devient. »

Attirée par les sujets qui sortent de l’ordinaire et des normes pré établies par la société actuelle, ma curiosité a été le moteur de cette série. Être nu mais se cacher. Montrer tout en dissimulant. La douceur d’un corps, des indices sans importance. Homme, femme, poser un regard sur leur regard, le « troisième sexe ».

Fascinée par les gens, Chloé Leroy consacre la plupart de son temps photographique à organiser des rencontres humaines afin de réaliser des portraits ou des mises en scène. Grande observatrice de tout ce qui l'entoure, la photographie parait alors comme le moyen idéal de transmettre sa vision du monde.
Le vide des lieux désaffectés qu'elle visite suscite d'autant plus
sa curiosité, les marques du passé révèlent une histoire jamais certaine, laissant place à l'unique interprétation de l'œil.

http://www.chloeleroy.fr/


 12- NINA MYNDLIS

Nina, Regard ou autoportrait d’un quotidien ?

Argentine de Buenos Aires, Nina Myndlis nous offre son regard sur la jeunesse qui l’entoure, sur elle même. Elle balade la fraicheur de ses 14 ans et nous invite dans son monde poétique. A noter: cette gamine de la génération pixel s’exprime sur un support ancien : « Je travaille avec un appareil argentique, et j'aime car cela me laisse le temps de penser l‘image et de prendre ou non les photos.»


13- PAULINE BEUGNIES et MARION GUENARD 

http://egypte.franceculture.fr/


 

6 ème édition 2012 : Esprit d’équipe et engagement

   

1 -Bar Floréal : la « Ville monde »

Cette exposition présente le travail de 12 photographes du bar Floréal. Photographies sur le thème de la « Ville monde ».  De Paris à Santiago du Chili, en passant par Haïti et la Mongolie. Les photographies de ce travail ont été présentées au Carré de Baudouin, Paris XXe au printemps 2012

Une exposition collective du bar Floréal présentée sous forme de projection

L‘association Bar Floreal cultive l’échange sur l’image et l’engagement photographique. www.bar-floreal.fr/

2 - Birot Michel : Attitude Rugby & Esprit d’équipe

Expositions en deux lieux sur la place du village

Michel Birot présente les clichés de Attitude Rugby, magazine qui a su associer depuis plusieurs décennies la qualité photographique du regard et ce sport qui, dans le sud-ouest de la France, se rapproche d’une « manière de vivre ».

http://www.attituderugby.com

 

3 - Bourges Denis – Médecin de campagne

Dans ce travail photographique, Denis Bourges utilise la photographie témoignage elle même reflet possible de l’engagement. Le photographe suit le quotidien d’un médecin dans ses tournées rurales « Ces petits morceaux de lien social, qu’il a su, l’espace d’une consultation, tisser avec eux. Tant qu’il y aura des médecins de campagne ….Réminiscences personnelles et projection dans une réalité forte et silencieuse. 

Denis Bourges est un des membre fondateur du collectif Tendance Floue

www.leschampsphotographiques.com

www.tendancefloue.net

 

4 - Chapotat  Fred - Urgence – Tirages de lecture

Dans les couloirs et « au bloc » le temps n’a pas la même densité ; attentes trop longues, temps d’action et de réparation trop bref. Sur le navire Urgence, hommes et femmes se doivent de pratiquer l’esprit d’équipe. Lors des tempêtes, ils tiennent la barre avec leurs moyens, ensemble. Le regard sensible de Fred Chapotat constate, accompagne ; le grain du film noir-blanc qu’il choisit relie avec intensité les moments et les détresses. Tirages argentiques doublement précieux.

www.fredchapotat.com

 

5 - Maillard Bruno - "Marques d'esprits"

Changement de point de vue. Les thématiques sont faites pour être creusées… et détournées. Dans une série d’images couleur, Bruno Maillard « livre » en première et en exclusivité au 6e Rencontres de Castelfranc ses réflexions photographiques. Recherches et interrogations intérieures dévoilées en extérieur et en grand format. « Les choix de l’Homme laissent leurs traces qui, de manière profonde, dénotent son esprit. »

Bruno Maillard est publiciste , éditeur et photographe à Fribourg – Suisse.

 

6 – Pixel +  Expo collective – Restos du cœur.- Cahors

Les Rencontres saluent la naissance de l’association cadurcienne Pixel + en présentant les images de ses membres, hommages aux bénévoles, à ceux qui agissent et s’impliquent dans les Restos du Coeur.

Auteurs : Dominic Leleu, Raymond Rouzée, Michel Rouquié, André Estardie et Fanfan. 

 

7 - Ropers Béatrice - De la prison à la liberté.. Deux ans pour se « refaire ». 

Une étape : la ferme de Moyembrie.

Autre expo à voir en exclusivité à Castelfranc, celle de Béatrice Ropers. Elle  « revient » dans le village. Après sa série sur les gens au travail dans le monde rural, elle a été « gratter » dans une ferme de réinsertion sociale régie par Emaüs. Elle inscrit sa démarche photographique dans une quête de l’humanité. De la terre, des légumes et l’application quotidienne ; des hommes et des femmes se remettent « debout ». Silence, Béatrice tourne. 

www.beatriceropers.com

 

 

 

 

 

 


PHOTOGRAPHES  2011: présentation des auteurs et de leurs travaux

Marion Poussier                                                     Alexa Brunet                                                                                                                              

Regard sur l’humain,vision du territoire


Avec ces deux axes forts, pour leur 5e édition, Les Rencontres de Castelfranc proposent une introspection photographique et une ouverture sur les paysages qui nous entourent ainsi que sur leurs transformations contemporaines.
Regard sur soi et sur l’autre, miroir d’existences et effleurement de la mémoire de nos sociétés au travers de la photographie de différents invités. Images d’enfants et enfance du regard, portraits uniques ou collectifs.
Nos lieux sont autant de géographies humaines, sentimentales, constats rigoureux ou évocateurs.

 

Marion Poussier. Exposition: Recréation http://www.marionpoussier.fr/

Format carré en couleur, MP a travaillé dans deux cours de récréations d’écoles primaires à Paris. Etude comportementale, qui nous renvoie à des réalités humaines et à la vie en société. Extérieur, intérieur, grands et petits, pour le jeu ou pour de vrai. Regard subtil.

Marion Poussier, photographe, prix 2010 de l'Académie des Beaux-Arts pour son projet "les sentiments du quotidien"

 

 

Alexa Brunet. Exposition : Habitants atypiques  est désormais en librairie!

http://www.alexabrunet.com

Seuls, en famille ou en groupe, à la campagne ou en ville, ils vivent hors des sentiers battus et se sont improvisés bâtisseurs, en toute liberté . Cabanes dans les arbres, habitats troglodytes, maisons rondes ou carrées, huttes éphémères, leur habitat est à  leur image, unique et plein d'inventivité.

Alexa Brunet, photographe et animatrice d’ateliers photographiques.

 

Mat Jacob. Documentaire: Le rêve de Jose Miguel Gonzalez

www.tendancefloue.net/ouverture_fr.html

 

Cuba, 1995. Mat Jacob se rend à La Havane pour réaliser un reportage photographique sur les écoles. Il rencontre Jose Miguel Gonzalez, 14 ans. Il pratique la boxe, symbole de réussite sociale à Cuba, et rêve de gloire sur les rings du monde entier. 15 ans plus tard, Mat Revient à Cuba.

Mat Jacob, photographe, co-fondateur du collectif Tendance Floue qui fête cette année ses 20 ans.

 

Arthur Andrieu. Exposition: Le long du Blues

Les graines du blues ont germé il y a  très longtemps quelque part sur les rives du Niger. Récit d'un voyage visuel et musical au Mali à la recherche du son et de la source.

Ce sujet a été publié par A/R, le magazine voyageur à retrouver dans tous les bons kiosques.

 

Vietnam Hanoi 24 heures. Projection http://24h.com/ 

Le 10.10.2010, Hanoi, la capitale vietnamienne fêtait son millénaire. Pendant 24 heures, quatorze photographes hanoiens réunis dans un atelier de Nicolas Cornet nous présentent le souffle et la pulsation de leur ville à travers des « virgules photographiques ». Hai Thanh, Maika Elan, Pham Duc Long, Dang Binh, Dang Quang Hieu, Le Tung Anh, Ho Nhu Y, Phan Huu Nghi, Steve Tran, Ngo Toan Thang, Dao Duc Quan, Phuong Zenith, Nguyen Duc Can, Vu Quang Huy.

Projet réalisé pour 24H.com et Photographie.com – Didier de Faÿs

 

 

Gérald Debiard. Exposition : Paroles libres

Parole donnée le temps d'une photo pars le biais d'une « simple ardoise » qui exprime avec force sensations et sentiments du moment photographique. Des mots, des désirs vrais, sans contrainte.

Série de portraits réalisée par Gérald Debiard, passionné de photographie ; la parole aux habitants de deux foyers-logements du Lot ( Prayssac et Puy L'Evêque).

 

 

Vincent Neuville. Exposition : La vigne comme territoire.

« Mon regard se porte sur la vigne; sa douceur et sa rudesse, sa fragilité et sa force, mais également sur le travail de l'Homme pour apprivoiser cette plante jusqu'à la naissance du vin. La vigne marque de son empreinte notre territoire, notre culture."

Œnologue, photographe, Vincent Neuville nous fait partager son regard sensible et juste à la confluence de deux  passions.

 

 

Le Labo des Rencontres

 

Stéphane Chabrier. Séries Infinies. http://www.stephanechabrier.com 

Essai photo en noir et blanc. « Théâtre de l’esprit » , manifestations du corps, langage des gestes , vision personnelle et allégorique.

Cadurcien de naissance, Stéphane Chabrier vit à Stockholm depuis 2007. Son travail se fonde sur une constante observation du monde qui l’entoure, l’instauration d’un dialogue avec un territoire détaché, caché ou altéré. Présence au monde, mémoire, temps renouvelé, représentation du rêve, révélation de l’inconscient

 

Francois Laurens. Exposition : Territoire

Vision sans artifice volontairement limitée à un quartier : « Mon territoire, ma résidence, mon lieu de vie. » Microcosme au milieu d'une grande agglomération, regard sur un quartier dans le quartier, avec ses habitants, leurs habitudes, leurs lieux de rendez-vous.. Les enfants s’approprient le lieu de leur liberté, instantanés d’un état d’esprit lié au territoire.

 

 

 

Collectif 3e Œil/ Cahors. Exposition.

Dans une série intitulée « Hors cadre », trois Cadurciens exposent 15  photographies.

 

 

Pauline Bessières. Projection

 

 

Fréderic Stoll, photo ; Nihil Bordures, textes. Exposition: Le soleil dans le dos.

Castelfranc. Retour au village natal, lieu d’enfance, territoire de nostalgie et de rêves. Essai photo et texte à deux auteurs.

 

 

STENOPE. Exposition : Instantanés de Castelfranc.

Le village et la vie de Castelfranc vu à travers un atelier photo de sténopé pour des enfants du canton autour de Philippe Maynard.